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![ISIL's gains in Libya and the case for intervention Members of the Libyan pro-government forces gesture as they stand on a tank in Benghazi, Libya, May 21, 2015. [Reuters]](https://i1.wp.com/www.aljazeera.com/mritems/imagecache/mbdresplarge/mritems/Images/2015/12/3/02840593b15f448ca41f5423d068d937_18.jpg)
On ne vaincra jamais l’idéologie salafistes par la force brute. Il y a onze ans, les Etats-Unis suivis par le monde entier, lançaient la guerre en Afghanistan. Sans débats. Sans l’ombre d’un doute. Comme un acte de légitime défense, après lesattaques du 11 septembre 2001. Aucun discours officiel n’a résisté à l’épreuve des faits. Tous les acteurs du conflit, membres des services secrets américains, commandants des force américaines, cadres talibans, seigneurs de guerre afghans, négociateurs de l’ONU, dirigeants pakistanais, responsables des ONG, racontent et démontent l’engrenage d’une guerre. Afghanistan, le prix de la vengeance 2012 – YouTube : Afghanistan, le prix de la vengeance – l’Indigné Révolté http://fr.wikisource.org/wiki/Bandit!Flores Magon, Bilan de la guerre « contre le terrorisme »
«On a fait des livres sur les intérêts des princes ; on parle d’étudier les intérêts des princes : quelqu’un a-t-il jamais parlé d’étudier les intérêts des peuples ?» de Chamfort
Extrait « La guerre de l’ombre au Sahara » – ARTE – YouTube
Shadow War in the Sahara: Western Military in N.Africa | Documentary – GorwFilm
Guerre de l’ombre au Sahara | ARTE Info : “Guerre de l’ombre au Sahara” – Mondafrique
nn2 Le conflit au Mali s’étend selon ONU au Burkina Faso et au Niger, avec une forte augmentation des attaques de groupes extrémistes dans les régions frontalières ces derniers mois, a averti aujourd’hui le représentant spécial des Nations unies en Afrique de l’Ouest, Mohamed Ibn Chambas.
un lien. ·

je ne sais pas si c’est lié ou pas, mais je pense que oui : bcp bcp de trafic depuis deux jours sur l’article Mali : l’uranium de Faléa, un des enjeux du conflit ? – Le Blog Finance LEBLOGFINANCE.COM, Guerre de l’ombre au Sahara TELEVISION.TELERAMA.FR
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Afrique, LANCEMENT DES OPÉRATIONS DU G5 SAHEL
la force antidjihadiste du G5 et la FAMa (Forces armées maliennes) Cette force antijihadiste conjointe, formée de soldats du Mali, du Niger, du Tchad, du Burkina Faso et de Mauritanie, doit lancer sa première opération à la fin du mois. Le nord du Mali était tombé en mars-avril 2012 sous la coupe de groupes djihadistes liés à al-Qaïda. Les djihadistes avaient été en grande partie chassés par une intervention militaire internationale, lancée en janvier 2013 à l’initiative de la France, qui se poursuit actuellement.
Mais des zones entières échappent encore au contrôle des forces maliennes, françaises et de l’ONU (Minusma), régulièrement visées par des attaques malgré la signature d’un accord de paix censé isoler définitivement les jihadistes, dont l’application accumule les retards. Face à la dégradation de la situation dans le centre du Mali, limitrophe du Burkina Faso et du Niger, gagnés à leur tour par les violences djihadistes, le G5 a réactivé avec le soutien de la France le projet de force conjointe, initialement lancé en novembre 2015.
Les USA annoncent 60 millions de dollars d’aide pour le G5 Sahel a annoncé le secrétaire d’Etat américain Rex Tillerson. La France dirige lundi une réunion du Conseil de sécurité de l’ONU pour tenter de consolider l’aide à ce G5 Sahel, une force conjointe formée de soldats du Mali, du Niger, du Tchad, du Burkina Faso et de Mauritanie.
» Lire aussi – Macron adoube une force des pays du Sahel contre le terrorisme
« Pour vaincre le terrorisme, il faut s’assurer que les organisations terroristes ne bénéficient d’aucun refuge sur aucun continent », estime Rex Tillerson dans un communiqué. « Dans cette optique, sous réserve de l’issue des consulations avec le Congrès, les Etats-Unis s’engagent aujourd’hui à soutenir pour un montant pouvant atteindre 60 millions de dollars les efforts antiterroristes de la Force conjointe du G5 Sahel », ajoute-t-il.
Selon lui, ces fonds vont « renforcer nos partenaires régionaux dans leur combat pour assurer la sécurité et la stabilité » face au groupe jihadiste Etat islamique et aux autres « réseaux terroristes ». « C’est un combat que nous devons gagner, et cet argent va jouer un rôle-clé pour y parvenir », insiste le chef de la diplomatie américaine.
Le département d’Etat n’a pas précisé dans l’immédiat s’il s’agit d’une aide bilatérale aux pays concernés où s’il s’agit d’un soutien financier par le biais des Nations unies. Paris souhaitait obtenir l’aide logistique et financière de l’ONU, ce à quoi les Américains, premiers contributeurs de l’organisation, s’opposaient jusqu’ici.
Dans son communiqué, Rex Tillerson salue les efforts de la France, engagée militairement dans cette région d’Afrique très instable avec l’opération Barkhane et à la manoeuvre pour renforcer le G5 Sahel. Mais il ne participera pas en personne lundi à New York à la réunion de l’ONU, dirigée par son homologue français Jean-Yves Le Drian. Les Etats-Unis seront représentés par leur ambassadrice auprès des Nations unies Nikki Haley.
LIRE AUSSI :
» Au Sahel, Macron lance une force militaire africaine contre les djihadistes
G5 Sahel counterterrorism force explained
French President Emmanuel Macron witnessed operations in northern Mali in May [Christophe Petit Tesson/EPA]
Le US government has pledged $60m de dollars à une force antiterroriste soutenue par les Nations Unies et destinée à s’attaquer aux groupes rebelles dans la région du Sahel troublée.
L’initiative, connue sous le nom de G5 Sahel Force impliquant le Niger, le Burkina Faso, le Tchad, le Mali et la Mauritanie, verra un bataillon de 5.000 soldats opérer dans la région, durement touchés par l’instabilité et les activités illicites. et la contrebande de drogue.
Le Sahel, traversant l’Afrique centrale et occidentale, est considéré comme un foyer d’anarchie, d’insécurité et d’appauvrissement, et nombre d’entre eux vivent dans un état de négligence permanent.
La situation dans la région a été aggravée par la crise au Mali, qui a débuté en 2013, et par l’augmentation de la sécheresse. Une présence étatique vide a laissé des millions de personnes à la merci du climat et des groupes armés non étatiques.
Malgré la présence de soldats de la paix et de troupes françaises, les groupes rebelles ont profité des frontières poreuses et des zones non gouvernées pour se répandre dans d’autres parties du Sahel.
Depuis 2016, des attaques ont eu lieu dans l’ouest du Niger et au Burkina Faso, soulevant des inquiétudes quant à un conflit régional plus important.
Al Jazeera se penche sur les développements récents dans le Sahel et demande si une solution militaire d’abord est la voie à suivre pour répondre aux besoins d’une région complexe.
Qu’est-ce que le G5 Sahel et quand cette coopération a-t-elle débuté?
Le G5 Sahel, composé du Burkina Faso, du Mali, de la Mauritanie, du Tchad et du Niger, a été lancé en 2014 dans le but d’améliorer la coopération sur les politiques de développement et les questions de sécurité en Afrique centrale.
Depuis sa création, le groupe s’est positionné comme un interlocuteur régional clé sur les questions de sécurité pour le Sahel.
La situation dans la région a été aggravée par la crise au Mali, qui a débuté en 2013, et par l’augmentation de la sécheresse. Une présence étatique vide a laissé des millions de personnes à la merci du climat et des groupes armés non étatiques.
Malgré la présence de soldats de la paix et de troupes françaises, les groupes rebelles ont profité des frontières poreuses et des zones non gouvernées pour se répandre dans d’autres parties du Sahel.
Depuis 2016, des attaques ont eu lieu dans l’ouest du Niger et au Burkina Faso, soulevant des inquiétudes quant à un conflit régional plus important.
Al Jazeera se penche sur les développements récents dans le Sahel et demande si une solution militaire d’abord est la voie à suivre pour répondre aux besoins d’une région complexe.
Qu’est-ce que le G5 Sahel et quand cette coopération a-t-elle débuté?
Le G5 Sahel, composé du Burkina Faso, du Mali, de la Mauritanie, du Tchad et du Niger, a été lancé en 2014 dans le but d’améliorer la coopération sur les politiques de développement et les questions de sécurité en Afrique centrale.
Depuis sa création, le groupe s’est positionné comme un interlocuteur régional clé sur les questions de sécurité pour le Sahel.
En février 2017, les dirigeants du G5, avec le président français Emmanuel Macron, ont announced la formation d’une force connue sous le nom de G5 Sahel Force, ou FC-G5S, destinée à combattre les groupes armés et la criminalité transnationale.
«L’idée d’une force combinée est apparue assez tôt dans sa vie, en partie à cause de la réalité des incursions transfrontalières dans des zones clés qui sont maintenant identifiées comme zones prioritaires pour la force (comme la zone frontalière Burkina Faso-Mali-Niger) », A déclaré à Al Jazeera Philippe Frowd, professeur de relations internationales à l’Université de York.
Le Conseil de paix et de sécurité de l’UA l’a approuvé en avril et le Conseil de sécurité de l’ONU a unanimement salué la résolution, en soutenant sa formation en juin. La Force a été officiellement lancée en juillet 2017.
Où sera basée G5 Force et qui se battent-ils?
Selon l’Institute of Security Studies, basé à Pretoria, le G5 Sahel Force a pour mandat officiel de combattre le «terrorisme» et le trafic de drogue, de contribuer au rétablissement de l’autorité de l’État et du retour des personnes déplacées, de faciliter les opérations humanitaires et mise en œuvre du développement.
Il y aura trois opérations principales.
Le premier seul le long de la frontière Mali-Mauritanie; la deuxième sur la région transfrontalière entre le Burkina Faso, le Mali et le Niger connue sous le nom de Liptako Gourma, et enfin à la frontière entre le Niger et le Tchad.
Au programme, des groupes comme Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI), Jamaat al-Nasr al-Islam, Ansar al-Dine, ainsi que Katiba Masine (une filiale d‘Ansar al-Dine), parmi d’autres groupes.
Les analystes, y compris Frowd, disent que parler de la lutte contre le trafic de drogue est susceptible de rester rhétorique.
D’autres, comme Bruno Charbonneau, professeur de sciences politiques à l’Université Laurentienne et directeur du Centre Franco Paix à la Chaire Raoul-Dandurand, affirment que les Français, comme l’UE, s’inquiètent de la façon dont l’instabilité entraînerait des migrations illicites. les marchandises circulant vers l’Europe.
« Pour les Etats-Unis, tout est dans leur guerre mondiale contre la terreur, assurant la stabilité (ici, avec les Français, ils partagent et estiment que le Tchad ne doit pas tomber, ni le Niger) », at-il déclaré à Al Jazeera.
Que coûtera la G5 Sahel Force et qui paie?
On estime que les coûts annuels seront proches de 500 millions de dollars. Le Conseil de sécurité des Nations Unies a déclaré que la responsabilité du financement incombe au G5, bien qu’il ait encouragé le soutien de la communauté internationale.
Les cinq pays africains ont promis ensemble 57 millions de dollars entre eux, tandis que l’Union européenne a offert d’égaler ce montant. En octobre, les États-Unis ont promis 60 millions de dollars supplémentaires.
En décembre 2017, une conférence des donateurs se tiendra à Bruxelles pour essayer de combler le déficit.
Est-ce une initiative menée par des Africains ou une initiative française?
Bien que l’initiative soit dirigée par des Africains, il s’agit d’une controverse dont l’ordre du jour servira la force, surtout si la majorité des fonds proviennent de l’extérieur du continent.
Les Français ont des troupes dans la région depuis janvier 2013, connues sous le nom d’opération Serval, visant à affronter les séparatistes touaregs liés à Al-Qaïda dans le nord du Mali.
L’opération s’est étendue à la région sous le nom d’Opération Berkhane en 2014, alors que les Français cherchaient à extirper les «menaces terroristes» à leurs alliés aussi bien qu’à leur propre sol.
« Les Français voient la force de sortie du G5 sortir du Sahel, mais tout le monde sait plus ou moins que la Force du G5 Sahel ne pourra pas fonctionner sans le soutien français (et probablement américain et européen) », a déclaré Charbonneau.
« Le G5 est considéré comme une » solution africaine « , ce qui n’est que partiellement vrai: en réalité, il s’agit d’abord d’une affaire franco-africaine, mais qui implique et bénéficie du soutien de l’Union africaine, de l’UE et des Etats-Unis. l’étendue et la participation « , a-t-il ajouté.
Union, the EU and the US to various extent and involvement, » he added.
Source n NEWS /BURKINA FASO G5 Sahel counterterrorism force explained by Azad Essa
n Le documentaire “Sahel & Sahara – Connexions” réalisé par Hassan El Bouharrouti et Latifa Aït Baala a été projeté au Parlement européen à Bruxelles le mercredi 26 avril 2017. Le voici en intégralité, avec l’aimable autorisation des auteurs.
Documentaire : « Sahel & Sahara – Connexions »
Pour l’Ancien directeur à la Banque mondiale et à l’Agence française de développement (AFD), conseiller de plusieurs gouvernements africains, Serge Michailof est engagé depuis près de quarante ans dans les questions de développement. Dans son dernier livre, Africanistan. L’Afrique en crise va-t-elle se retrouver dans nos banlieues ? (Fayard, 2015), il dresse un parallèle entre la situation au Sahel et en Afghanistan
Jean Christophe Servant : « La menace Boko Haram sert les intérêts de beaucoup de personnes » – Afri : L’organisation, qui fait beaucoup parler d’elle dans les médias, est en réalité méconnue. Qui se cache derrière Boko Haram ? Éléments de réponse avec Jean-Christophe Servant, journaliste spécialiste du Nigeria pour Le Monde diplomatique Un ancien porte-parole du président nigérian arrêté (Goodluck Jonathan) . Cette insurrection a fait plus de 20.000 morts et 2,6 millions de déplacés depuis 2009 et a atteint son pic en 2013. L’ancien président a été battu l’an dernier par son rival Muhammadu Buhari qui a depuis lancé une vaste campagne anti-corruption visant les proches du gouvernement précédent.
A travers les médias locaux, des organisations de la société civile dénoncent depuis des semaines la loi de Finances 2018 qui institue de « nouvelles mesures fiscales anti-sociales ». « Le nouveau budget va d’avantage presser les pauvres », s’est insurgé Nouhou Arzika, grande figure de la société civile et un des meneurs de la contestation. « Au lieu de créer de nouvelles taxes », M. Arzika propose notamment aux autorités de « commencer par réduire leur prestigieux train de vie » de « réduire la taille du gouvernement » ou « les nombreux voyages officiels ».
Les mesures « ne touchent pas les pauvres » mais les « plus riches » et la pression fiscale sera comprise « entre 13% et 16%, soit son niveau de 2015 », a assuré cette semaine devant les députés le ministre nigérien des Finances Hassoumi Massoudou. Le Niger est un pays sahélien presque entièrement désertique et parmi les plus pauvres du monde. Son économie est affectée par la chute du cours du pétrole – dont il est un modeste producteur depuis 2011 – et la baisse du prix de l’uranium, dont il est un grand producteur mondial. Une bonne partie de ses ressources est absorbée par la lutte contre les jihadistes venant du Mali et des islamistes du groupe nigérian Boko Haram, qui mène régulièrement des attaques meurtrières dans le sud-est du Niger.
n
La guerre du désert Arte 2015 12 01 23 00
La guerre dans l’ombre – Partie I – YouTube
« AU SAHEL, NOTRE POLITIQUE D’AIDE AU DÉVELOPPEMENT S’EST COMPLÈTEMENT FOURVOYÉE » 5 Novembre 2017
A Lire 29/07/2016 L’histoire sans fin contre le terrorisme : » Donald Trump, le « candidat des djihadistes » ?Selon le Monde passé les manifestations d’« indignation » de façade, des figures djihadistes n’ont pas caché une certaine satisfaction sitôt le résultat de la présidentielle américaine connu. Terrorisme, raison d’Etat, Le 03 juin 2017 à 12h09 Afghanistan, le prix de la vengeance